Calogero menace Jordan Bardella de le poursuivre en justice : ce qui n’a pas du tout plu au chanteur

 

JEAN-MARIE LE PEN RESTE DANS LES MÉMOIRES
Cette décision a immédiatement suscité des réactions en ligne. Le compte @EnModeMacron a rappelé sur Twitter : “Pour rappel, 1987 est l’année où Jean-Marie Le Pen parle pour la première fois du ‘point de détail de l’histoire de la Seconde Guerre mondiale’”.

LE “POINT DE DÉTAIL DE L’HISTOIRE”
En 1987, Jean-Marie Le Pen, alors à la tête du Front National, avait déclaré que les chambres à gaz n’étaient qu’un « point de détail de l’histoire » de la Seconde Guerre mondiale.

UNE PROVOCATION DE LA PART DE JORDAN BARDELLA ?
Ces propos, restés tristement célèbres, continuent de hanter le parti. Ainsi, l’utilisation de la chanson “1987” par Jordan Bardella a été perçue par certains comme une provocation délibérée, voire un clin d’œil à ce passé controversé.

CALOGERO EN COLÈRE CONTRE JORDAN BARDELLA
Calogero, profondément outré, a rapidement réagi sur les réseaux sociaux. Dans un message posté sur Instagram, l’artiste de 52 ans a exprimé sa colère.

“À AUCUN MOMENT, JE N’AI DONNÉ UNE QUELCONQUE AUTORISATION”
“À aucun moment, je n’ai donné une quelconque autorisation d’y diffuser ma musique. J’affirme que jamais je ne l’aurais donnée”. Le chanteur a souligné que ses chansons n’étaient pas destinées à servir des fins politiques, quelle que soit l’idéologie en question. Selon lui, ses chansons “appartiennent au public et seulement au public », a-t-il insisté.

UNE ATTEINTE AU DROIT MORAL ?
Paul École, l’auteur des paroles de “1987”, partage l’indignation de Calogero. Ensemble, ils déplorent une atteinte à leur droit moral, estimant que leur œuvre a été détournée pour servir un discours politique qu’ils ne cautionnent pas.

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