Frissons mystérieux : que nous révèle la chair de poule ?

Ces petits messagers chimiques qui régissent notre humeur et nos réactions peuvent parfois dérailler. Une sécrétion anarchique d’adrénaline – souvent liée à un dérèglement des surrénales – peut provoquer des épisodes de frissons inopinés, associés à des palpitations, des sueurs froides ou une tension musculaire inhabituelle. Bien que rare, ce scénario justifie une consultation si les symptômes se répètent.

Et si c’était votre peau qui faisait des siennes ?

Certaines particularités dermatologiques peuvent mimer en permanence l’effet chair de poule. La kératose pilaire, par exemple, se traduit par une multitude de microkystes kératosiques – souvent localisés sur les bras ou les cuisses – donnant à la peau une texture rugueuse. Aucun danger, mais un bon soin émollient peut rendre la situation plus confortable.

Chair de poule récurrente : quand s’alerter ?

Quelques frissons occasionnels ne doivent pas vous inquiéter. En revanche, s’ils deviennent quotidiens, inexplicables, ou associés à d’autres signes (fourmillements persistants, épuisement chronique, sautes d’humeur…), un avis médical s’impose. Mieux vaut investiguer que passer à côté d’un signal que votre corps tente désespérément de vous envoyer.

Ces frissons qui veulent nous dire quelque chose

Au-delà de l’aspect physiologique, ces réactions cutanées peuvent être l’occasion d’un retour à soi. Notre enveloppe charnelle, discrète mais éloquente, possède son propre langage… et mérite qu’on prenne le temps de le décrypter.

Derrière chaque frisson se cache un message : et si vous profitiez de l’occasion pour renouer le dialogue avec votre corps ?

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