Lors d’une étude sur 1600 femmes européennes publiée dans le Journal d’Oncologie Clinique en juillet 2006, des chercheurs ont découvert que les femmes ayant subi des mammographies présentaient un risque plus élevé d’au moins 54 % de développer un cancer du sein par rapport à celles qui n’en avaient jamais fait.
Par ailleurs, le Dr Samuel Epstein, dans son livre « les politiques du cancer », a écrit : « Une mammographie régulière des femmes jeunes augmente le risque de cancer. Une analyse de contrôle sur dix ans a montré dans les années ayant suivi les débuts du dépistage une augmentation importante de la mortalité par cancer du sein. Ce qui apporte une preuve de la forte sensibilité des seins chez les femmes non ménopausées et les effets cancérigènes cumulés des rayons ».
Et il n’y a pas que les rayons. Pendant la mammographie, la poitrine est littéralement « écrabouillée » afin d’obtenir des images plus claires. La douleur peut être violente au point de faire pleurer certaines femmes. Une telle manipulation physique des tumeurs, si c’est bien le cas, pourrait en fait déclencher une propagation des cellules cancéreuses dans l’organisme.
Le Dr Charles Simone, ancien associé à l’Institut National du Cancer, disait que « les mammographies augmentent le risque de développer un cancer du sein et augmentent le risque de disperser une tumeur existante ».