Avec le retour du soleil et la montée des températures, l’envie de faire sécher son linge dehors revient naturellement. Le parfum du linge propre emporté par la brise semble irrésistible. Pourtant, derrière cette image bucolique se cache un piège pour les millions de Français souffrant d’allergies saisonnières. Alors, faut-il vraiment bannir le séchage en plein air ? La réponse pourrait bien vous surprendre…
Le retour du printemps, pas si doux pour tout le monde
Chaque année, dès le mois de mars, le printemps marque le début d’un long calvaire pour les personnes allergiques au pollen. Le phénomène du rhume des foins – ou rhinite allergique – touche près d’un tiers des Français. Entre éternuements, nez qui coule, yeux qui piquent et fatigue chronique, cette période est tout sauf reposante.
Les mois d’avril à septembre voient se succéder différents types de pollens : d’abord ceux des arbres, ensuite ceux des graminées (de mai à juillet), puis ceux des herbacées jusqu’en automne. Autant dire que l’air extérieur devient un véritable concentré d’allergènes.
Pourquoi sécher son linge dehors empire les symptômes ?
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