Pots de départ, fêtes, soirées, les prétextes pullulent pour sortir boire un verre. Pourtant, intégrer l’alcool à notre quotidien n’est pas sans danger pour notre organisme. Arrêter cette habitude est une décision pouvant engendrer de nombreux effets positifs sur notre santé. Voici le déroulé de vingt-huit jours de sevrage. Vous serez surpris de savoir comment l’arrêt de la consommation d’alcool impactera votre quotidien sous de nombreux aspects. On vous en dit plus.
Selon l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) , l’alcool serait à l’origine de 3 millions de morts chaque année. Pourtant, cette drogue est plus que jamais considérée comme un rituel social, popularisée auprès des jeunes pour son côté convivial. Motivés par la sensation d’inhibition que la boisson procure, les buveurs ignorent souvent le risque de dépendance pernicieux qui s’installe. Voici comment l’arrêt de l’alcool impacte le corps pendant vingt-huit jours.
Semaine 1 :
Lors de la première semaine d’arrêt, les effets de l’arrêt de l’alcool sur la qualité du sommeil sont aussitôt observables. Et pour cause, la consommation de cette drogue impacte considérablement l’étape dite du « sommeil paradoxal ». Réveils nocturnes, ronflement, agitation, autant d’effets que seulement quelques verres peuvent provoquer pendant la nuit. Selon cette étude de l’Alcohol Sleep Center, la consommation de cette drogue impacte sérieusement les cycles normaux du sommeil. Autant de raisons pour considérer l’arrêt de l’alcool, même s’il s’agit d’un usage modéré.
Semaine 2 :
Après deux semaines d’arrêt, les effets de sevrage sur le corps sont considérables. Quinze jours après cette décision, le foie commence à se purifier des séquelles liées à une consommation effrénée d’alcool. Selon le docteur Stein, les enzymes de l’organe de filtrage sont endommagées par l’alcool, pouvant provoquer une mort cellulaire. Heureusement, le foie a la faculté de se régénérer si l’on décide de mettre fin à toutes les habitudes néfastes pour l’organe. A terme, une consommation d’alcool peut exposer au risque de cirrhose, une maladie chronique du foie.
Semaine 3 :